Elles étaient quatre...
Au départ d’Arpavon, « les quatre filles qui marchent », comme elles se désignent elles-mêmes, ont cheminé vers le Poët Sigillat.
Accompagnées de Christine, elles ont sans doute bu un thé imaginaire avec de petites bonnes femmes en terre cuite et admiré l’endurance des plantes saxicoles, dont elles se sont très certainement inspirées…